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Tout savoir sur la pêche en bateau cabine

Dans la vie et plus particulièrement dans une carrière de pêcheur il existe bien des tournants. Celui qui a basculé ma vie de pêcheur fût l’achat d’un bateau cabine en 2016. En raison de sa couleur noire et de ses courbes tranchées il fût baptisé Furtif, tel l’indétectable avion de guerre américain. 5m10 de longueur, motorisation thermique de 30 CH, une bête de guerre pour la pêche en duo. Piqué par ce regain de passion deux autres bateaux pour la pêche en solo franchirent par la suite mon portail. Furtif Junior, un Boum Joker de 4m20 muni d’un moteur électrique des 160 lbs, 24V, dédié pour la pêche en zones d’interdiction du thermique. Une belle coquille de noix à la couleur kaki pour se fondre dans les roseaux. Et enfin Paki, un Spectrum 430 muni d’un 30 CH pour les rivières. Une bombe de puissance et de rapidité de déplacement. Cette escadrille de guerre est envoyée régulièrement aux combats sur les plus belles étendues sauvages. Carpiste et capitaine, deux mots chérissant presque toutes les mêmes lettres, il fallait absolument qu’ils fassent équipe !

Les atouts du cabine

La pêche en cabine offre trois avantages incontestables : la mobilité, l’accès aux postes non pêchés et la tranquillité.

La mobilité, vous le savez déjà tous, est un facteur clé de réussite. Il n’est pas rentable de stationner sur un poste qui a produit du poisson. Même en milieu très sauvage les carpes comprennent vite le danger, elles quittent la zone ou s’alimentent désormais avec la plus grande méfiance. Il convient de dresser table ailleurs. En bivy, déménager est un travail de titan, il encourage à l’immobilisme. En cabine, 10 minutes suffisent à lever les ancres, retirer les cannes et réveiller les chevaux du moteur. Simple comme bonjour, rapide comme l’éclair, cette mobilité permet de pêcher deux et parfois même trois spots en même temps en organisant des tournantes.

Loin de toutes turpitudes. Seul sur les immensités avec pour étrange sensation d’être un intru.
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Pour les pêcheurs du bord s’installer sur des postes très rarement pêchés est devenu une tâche compliquée. En cabine tous ces postes fiers de leur virginité et truffés de carpes délurées, se donnent sans détours au capitaine. Tâches de nénuphars, arbres immergés, zones éloignées du bord… le choix est pléthorique. De plus, le cabine offre l’immense avantage du choix du meilleur positionnement d’attaque possible, parfois avec une orientation des cannes à 360 degrés. Et pour les pêches d’obstacles dans une perpendicularité parfaite et une distance optimale.

Le passage des écluses demande la plus grande attention. La moindre erreur peut mener à l’accident grave.
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La mobilité, l’accès aux zones non pêchées et le meilleur positionnement induisent une heureuse conséquence : l’augmentation considérable des prises. En moyenne j’estime tripler mes départs depuis que je barre en capitaine. Le gonflage de mon carnet de note en témoigne. L’usure de mon peson aussi. Et surtout le sourire du capitaine sur les photos.

Enfin, le dernier atout du cabine, le plus important à mes yeux, est la tranquillité. Se perdre en pleine nature avec pour seuls compagnons les animaux sauvages réveille notre instinct de base, celui qui va rechercher notre meilleur bien être. Le bruissement des roseaux sous la caresse du léger vent, le murmure de la rivière, la mélodie des gouttes de pluie s’associent dans la plus belle des mélodies. L’odeur indicible de la flore ou de la rivière sont mes encens. Le coucher de soleil qui fait révérence à la lune naissante, la course folles des étoiles transforment mon mental, mon corps en un trait de lumière. Le pêcheur du bord peut vivre ces instants bénis, certes. Mais en cabine les possibilités d’éloignement du monde artificialisé sont décuplées. Surtout si on fuit comme la peste les postes convoités par les bivys, loin des querelles carpistes en tous genres.

Le paradis blanc
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Alors ? Convaincu par la pêche en cabine ? Vous hésitez encore, je comprends, lisez deux fois le chapitre suivant. Il y a effectivement matière à réfléchir avant de se lancer dans l’aventure.

Les contraintes du cabine

Toutes aventures, aussi belles soient-elles, imposent leur lot de difficultés. Les contraintes et les dangers inhérents à l’usage du cabine ne doivent pas être occultés. Les contraintes sont logistiques, administratives et financières. Je ne m’y attarderai pas dans cet article, je préfère développer les réels dangers en action de pêche. Ils sont à l’affût de la moindre erreur du capitaine. Sous-estimez-les, ne prêtez pas attention à leurs signes avant-coureurs, soyez distraits lors de certaines manœuvres délicates… et vous le paierez peut-être de la perte de votre bateau et de son contenu voire de votre vie ! Les trois principaux dangers sont la crue en rivière, la tempête en lac et l’accident nautique. Pour les avoir rencontrés de près à plusieurs reprises j’invite le futur capitaine à bien en prendre conscience.

Le positionnement du cabine permet une orientation des cannes tous azimuts. Et donc une multiplication des zones pêchées.
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Les crues en rivières sont subites et leurs ampleurs difficilement prévisibles. Un orage violent sur le bassin versant métamorphose un mignon petit chaton en énorme fauve rugissant en quelques minutes. La pluie diluvienne transforme le pont en baignoire, le zod s’enfonce (destruction de la batterie lithium en prime), le bateau dévale malgré les 80 kg de lest. C’était sur le Lot en 2018. Eric, mon équipier et moi-même n’avons eu notre salut que grâce à nos réflexes maîtrisés, à un sang-froid de circonstance et surtout à un matos en parfait état de fonctionnement : une pompe de cale infaillible et un thermique de 30 CH qui nous a poussés péniblement vers une zone calme, heureusement située un peu en aval derrière une écluse.

L’organisation à bord impose une discipline de militaire.
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2017, Lac de Biscarosse. Furtif est ancré en bordure afin d’assurer une belle nuit à ses passagers. Le jeune capitaine que j’étais commit l’énorme erreur de positionner la poupe face aux vagues. Pas d’inquiétudes, pensais-je, elles étaient modérées, de simples vaguelettes inoffensives. Mais durant notre sommeil le vent s’était levé grossissant en conséquence l’amplitude des vagues qui déferlèrent en partie dans le bateau. La pompe n’était pas enclenchée. Bref, nous prenions l’eau ! La gîte à tribord du bateau fit rouler mon équipier dans mes bras. Horrifié par cette promiscuité masculine totalement indésirable, le réveil fût brutal. Mais salutaire. Nous avons juste eu le temps d’actionner la pompe de cale tout en retirant les amarres latérales afin que Furtif se positionne face au vent. Mon équipier retourna sur sa propre couchette, j’étais sauvé. Le taux d’adrénaline tomba en flèche.

Il est temps de consulter météo-radar. Au-delà de rafales de 60-70 il vaut mieux faire le gros dos dans une baie.
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2019, Lac de Madine. La météo annonçait des vents soutenus. A l’époque je ne savais pas encore estimer jusqu’à quelle vitesse de vent il vaut mieux faire le gros dos dans une baie en attendant de meilleures conditions météorologiques. Rafales de 80 km/h annonçait météo radar. Par défi, par bravoure, par passion (ça déroulait), je suis resté a découvert sur le lac. Mal m’en a pris, c’était de l’inconscience. Le bateau s’est retrouvé avec les quatre amarres alignées, heureusement la proue en avant des vagues. Un roulis à arracher les boyaux d’un marin au long cours m’apprit le mal de lac. Je connaissais déjà le mal de mer, l’effet est exactement le même. Les mousquetons d’attache du zod ont tellement tambouriné sur le flanc du bateau que la peinture a dû être refaite par la suite. Imaginez un seul instant que le bateau se soit positionné à l’envers ou que je sois tombé à l’eau…

Un matin dans la brume
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Enfin, le dernier gros danger de la pêche en cabine est l’accident nautique. Les manœuvres de mise à l’eau sont délicates. Il faut passer en revue les moindres détails. En 2021 Fred m’accompagna avec son propre cabine sur la Marne. Lors de la mise à l’eau il n’avait pas actionné correctement la fermeture d’attache de la remorque. Elle s’est détachée d’elle-même et a roulé avec fracas dans la rivière, le bateau encore par-dessus. Fred était heureusement positionné à côté…

Être mobile est un atout non négligeable
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La même année, je pêchais seul dans le secteur du Port-Montain en Seine. Ancré à l’entrée d’un bras mort qui communique avec la Seine navigable, bien à l’écart des sillons de passage des lourds porteurs. Tout à coup je fus pétrifié par la corne de brume étourdissante d’une énorme péniche qui fonçait droit sur moi. Pas le temps de réagir, c’était la fin définitive de mon aventure, Furtif par le fond. Elle s’est arrêtée à 10 mètres, ouf ! En fait, le porteur faisait une manœuvre de demi-tour et avait besoin de l’espace. Imaginez si ce capitaine n’avait pas vu ma frêle embarcation… Je pense avoir battu le record du monde de déplacement d’un bateau cabine.

Les passages d’écluse sont extrêmement délicats. La moindre erreur ne pardonne pas. Inexpérimenté, lors de mon premier passage d’une écluse sur le Lot j’avais encordé Furtif de façon trop courte. Le niveau descendait rapidement, la corde se tendait, Furtif basculait dans le vide. J’ai juste eu le temps de trancher l’amarre. Imaginez si je n’avais pas disposé d’un couteau aiguisé à portée de main… J’ai quand-même eu droit à un rod-pod arraché. Dégât mineur comparé à ce que j’aurais pu subir.

Seul au monde
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Je pourrais multiplier les épisodes dangereux que j’ai rencontrés. Les chutes accidentelles dans l’eau avec blessure ouverte. Les radiers surgissant de nulle part et brisant l’hélice. Les pannes de carburant. La panne moteur, seul, loin de la mise à l’eau. Et j’en passe.

Vous aurez compris le sens de ce chapitre. Les galères sur l’eau peuvent être autrement plus graves que les galères sur le plancher des vaches.

Quelques règles de sécurité

Évitez de pêcher seul. Dans les situations les plus problématiques un acolyte peut sauver la mise. Il n’est pas toujours possible de trouver à chaque session un compagnon de pêche, les agendas imposent leurs diktats. Par précaution j’emmène alors un deuxième zod muni d’une thermique amovible de 6 CH. Car comment m’en sortirai-je, seul, sur un bris d’hélice à 20 km de la mise à l’eau ?

En place et bien ancré !
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Les bricolages des bateaux-cabines ont leurs limites. Ne raccourcissez jamais le tablier arrière pour poser un moteur dont l’arbre est trop court. Vendez plutôt votre moteur et rachetez un autre plus adapté. Nous pêchons en cabine pas encore en sous-marin ! Ne remontez pas de façon exagérée l’habitacle du bateau, il forme alors une prise au vent, une véritable voile qui amplifiera le danger par grand vent. Et enfin, ne découpez jamais les caissons étanches du bateau pour en retirer les structures en bois et les mousses de flottaison pour en faire des coffres de rangement. Ça semble évident mais beaucoup le font.

Un petit café du matin …
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Si vous avez le permis nautique (un passionné ne reculera pas devant l’effort à consentir pour l’obtenir) et les moyens financiers choisissez une bonne motorisation. Que ce soit en lac ou en rivière il existe régulièrement des situations dangereuses desquelles on se dégage rapidement grâce à la puissance du moteur. 30 CH en thermique et 160 lbs 24 V en électrique.

Faites très attention au choix de l’endroit de votre mouillage. Vous n’êtes pas seul sur l’eau. En cas de collision vous êtes responsable des dommages occasionnés. Si vous n’êtes pas noyé… Faites le point de vos polices d’assurances.

Celle-ci, il fallait aller la chercher au milieu de nulle part
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Bien évidemment respecter les règles nautiques de sécurité : gilet de sauvetage, feux, écope, barre de repousse, cordage, extincteur… D’ailleurs, à propos de règles législatives je vous conseille de les respecter toutes, même les administratives. Les contrôles sont réguliers, avec amende à la clé. Pensez, entre autres, à la vignette VNF si vous en êtes redevable.

Le mouillage

Au début de mon aventure j’utilisais trois ancres. Jusqu’au jour où lors d’un vent fort j’ai placé une ancre supplémentaire. L’effet de confort est immédiatement perceptible, le bateau pivote beaucoup moins. Je conseille donc sans hésiter l’emploi de quatre lests. Il y a aussi une autre raison à ce conseil. La perte d’une ancre en action de pêche n’est pas rare, mousqueton ouvert par inadvertance, poids calé au fond et irrécupérable… cela m’est déjà arrivé trois fois. Vous vous retrouvez avec deux ancres et vous jouez au carrousel. Vous vous retrouvez avec 3 ancres et vous continuez votre pêche.

Une écaillure remarquable !
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Quel type de lest choisir ? Ancre charrue ou poids ? Oubliez d’office les ancres charrue. Elles coûtent très cher et ne sont performantes que sur la vase. Absolument inefficace en rivière sur galets. De plus sur vent fort, même sur la vase, elles tiennent moins bien qu’un poids. Son seul avantage est son poids léger, je serai peut-être obligé de les employer quand j’aurai de l’arthrose.

Le poids idéal des lests est de 20 kg. Dans les situations pépères, petite brise, courant d'étiage, des poids de 10 kg suffisent. Mais assidu dans la pêche et sachant que la joie de la réussite est directement proportionnelle au niveau des difficultés rencontrées vous n'abandonnerez pas face à une petite crue, ni une petite tempête. Dans ces conditions vos 10 kg ne pèseront pas plus que 10 g, le bateau dérivera. Très souvent pour stabiliser le bateau je double le poids (40 kg donc, deux amarres) face à la force la plus vive, vent ou courant. Pourquoi dès lors ne pas disposer d'un poids de 40 kg? Tout simplement car je n'ai qu'un seul dos et j'y prends soin. Quel genre de poids choisir ? Évitez les lests en plomb coulé dans une vieille casserole, bien trop polluant en cas de perte. Celui qui a ma nette préférence est le poids d’haltère de 20 kg vendu chez Décathlon. Il dispose de poignées qui facilitent grandement la prise en main et il est recouvert d'une protection caoutchouteuse qui adoucit les contacts sur la coque du bateau et surtout sur le zod.

A chaque jour un paysage différent
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Je conseille des cordages d'un fort diamètre, 12 mm au moins, 14-16 c'est mieux. Non pas que je doute de la résistance de la corde, l'intérêt est autre : elle ne coupe pas les doigts lors du retrait des amarres. Soulever 20 kg en équilibre instable sur un zod est tâche impossible pour un gringalet. Les mains souffrent. Les lombaires aussi d’ailleurs.

La longueur utile des amarres dépend de la profondeur de l'eau. 8 mètres est la solution passe-partout. Pour les pêches en eaux très profondes (barrages) il suffit de les rallonger avec les cordages de réserve remisés en cale. A 2 mètres du mousqueton d'accroche du lest j'intercale un triple élastique de 12 mm d'environ 1m50 de longueur. C'est indispensable pour l'amortissement des tensions qui seront sans cesse exercées sur le bateau. Sans l'élastique les à-coups pèseront sur votre confort et surtout déplaceront les poids déposés au fond. Évitez les chaînes. Moins efficaces que les élastiques. Lourdes, encombrantes sur le pont et trop bruyantes.

L’autonomie énergétique

Entre mon statut de simple moussaillon et celui de vieux capitaine actuellement, j’ai expérimenté bien des situations qui m’ont amené petit à petit à dégager les solutions les plus adaptées. La recherche de la meilleure solution d’indépendance énergétique en a fait partie.

Comme beaucoup de carpistes capitaines j’ai d’abord misé sur le panneau de recharge solaire. En réalité, même si je l’ai adoptée durant quelques années, cette solution est loin d’être idéale, elle présente deux grands inconvénients majeurs. La place occupée sur le bateau par les panneaux et leurs efficacités aléatoires.

Les cannes hautes …
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Les panneaux occupent une place importante, au détriment des autres objets à ranger et surtout au détriment de la mobilité des passagers à bord. Ça cogne, ça heurte, ça prend les branches…bref ça emmerde considérablement !

A l’usage je me suis rapidement aperçu que je devais consommer les batteries en avare, en limitant les trajets, en freinant la vitesse. Sinon il fallait ressortir les rames. C’est inconfortable et ça nuit au déroulement optimal de la pêche. C’est qu’il ne fait pas soleil en permanence dans nos contrées. Et même en pleine canicule ensoleillée nous mouillons autant que possible à l’ombre en bordure. Bref les recharges sont aléatoires et rarement complètes.

Un instant furtif
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Par la suite j’ai expérimenté la recharge sur groupe électrogène déposé la nuit sur la rive. Ce procédé n’est pas idéal. Certes il est très efficace pour le rechargement mais c’est une horreur acoustique. A bannir pour le dormeur qui recharge ses propres batteries grâce au calme de la nuit. De plus cette méthode est inapplicable en zones habitées. Gêne pour les riverains et risque de vol.

Finalement, je me sentis comme un imbécile car la solution idéale était connue bien avant que je n’expérimente les deux procédés précités. L’achat de batteries Lithium de forte capacité a changé complètement la donne. Cette technologie offre de l’énergie à profusion même sur des longues sessions. Elle autorise les déplacements à volonté sans plus faire son Harpagon. Le top ! Par sécurité j’emporte en cale le chargeur sur secteur 220V. Ça ne m’est encore jamais arrivé mais au besoin, je pourrais recharger la batterie chez un aimable riverain. Les recharges de batteries Lithium sont rapides.

Retour sur le bord avec mon pneumatique afin de faire une petite séance photo
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Conclusion

La pêche de la carpe en bateau apporte un réel renouveau dans notre passion. Elle élargit des horizons de découvertes extraordinaires en nombre de postes et de prises. Elle enchante le carpiste baroudeur à la recherche de paysages différents tous les jours, loin de toutes agitations. La mobilité induite par les changements de postes s’associe au tourisme nautique, les arrêts réguliers dans les petits villages pittoresques sont plaisants. Bref du pur bonheur !

Mais cette passion se mérite. Elle doit dépasser toutes les difficultés et les dangers inhérents à ce mode de pêche, nettement plus lourds que ceux de la pêche du bord.

La pêche en cabine présente bien des aspects différents de la pêche statique du bord. J’en ai développé quelques-uns dans ce papier. Je pourrais discourir sur d’autres sujets comme l’inutilité de l’usage des rod-pods à bord, les stratégies de pêche et particulièrement les techniques de pêche d’obstacles (ma préférée), les aspects logistiques, les types de batteries, les modèles de bateaux, l’alternative à l’encombrant taud, les aspects administratifs, financiers, législatifs… mais je n’ai plus le temps. A l’heure où j’écris cette conclusion le printemps vient de frapper à ma porte, mes bateaux se chamaillent déjà entre eux pour savoir lequel d’entre eux aura la chance de fendre les ondes en premier.

 

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Magazine n°174 - Juillet & Août 2023

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